Après le film, une animation danses folk pour laquelle tous les danseurs et musiciens seront les bienvenus. Pour (re)découvrir l’ambiance du Grand Bal de l’Europe annuel à Gennetines (Allier). Notre atelier de danses traditionnelles sera présent. |
Atelier mensuel – animé par Louis Caul-Futy – portant sur l’actualité sociale, économique et politique, tant nationale qu’internationale.
Il s’agit d’analyser les évènements du monde et les annonces des médias, de les remettre dans leur contexte afin d’en appréhender le sens, les raisons, les conséquences …
Ce rendez vous est indispensable pour qui veut comprendre le monde dans lequel il vit et en être un acteur ; il est ouvert à toutes et tous sans distinction d’opinions politiques ni de croyances. La parole est donnée à chacun qui veut témoigner, contredire, argumenter, s’indigner.
L’atelier est animé par Françoise Leroulley et Anne-Marie Lorillard.
Au programme :
Danses des Balkans, Grèce, Israël et répertoire folk : scottish, mazurka, polka, valse, danses bretonnes en ligne, en rondes, bourrées d’Auvergne, du Berry, rondeaux du Sud-Ouest …
Renseignements auprès d’Anne-Marie au 06 76 18 92 28
Conférence animée par Julie Schwartz , thérapeute holistique
La confiance en soi est un thème très en vogue car nous prenons de plus en plus conscience qu’il y a des choses qui se réveillent en nous et qui ne sonnent plus bien juste. Nous commençons à sentir des émotions remonter, des réactions inadaptées. Un truc nous dérange, mais quoi ?
Julie Schwartz vous propose d’aller à la découverte du fonctionnement de notre cerveau basé sur des croyances, des mémoires, des blessures, des modes de défenses mis en place pour nous protéger de situation dans lesquelles nous nous sommes sentis en danger. Ce dont elle parle, sont tous ces masques qui nous enveloppent et qui font que nous ne parvenons pas à être qui nous sommes vraiment.
Et si cette crise migratoire était en fait une crise de notre humanité ?
En parcourant durant ces quatre dernières années les routes migratoires vers l’Europe, Isabelle Serro, reporter, rencontre des femmes et des hommes qui œuvrent, de manière individuelle et spontanée auprès de ceux et celles qui ont pris le chemin de l’exil.
C’est très souvent dans l’ombre et à l’abri des projecteurs que ces personnes entreprennent des tâches essentielles pour faciliter le quotidien ou encore pour préserver le devenir de ces personnes en quête d’un refuge. Elles hébergent, elles soignent, elles nourrissent, elles réconfortent.
En cette période où l’aide citoyenne auprès d’ une personne exilée en danger est susceptible d’être jugée comme un délit de solidarité, où l’accueil n’est pas au goût du jour, où la peur de l’étranger est plus forte que la soif de découvrir, la réalisatrice porte la lumière sur ces acteurs de l’ombre devenus des résistants d’une nouvelle ère, les garants de l’humanité de demain.
Se retrouver en toute convivialité dans des actions de formation, de conseils et d’aide technique. Échanges sur la pratique du vélo.
Il s’agit de visiter l’exposition Servir les Dieux d’Égypte. Le nombre de places est limité à 40 (2 groupes de 20).
Le tarif est de 30 € et comprend le trajet en car et la visite guidée de l’exposition, à condition d’être membre d’une Université populaire Savoie Mont-Blanc.
Inscriptions auprès de Michèle Muffat
1 rue du Faubourg Saint-Nicolas
74300 CLUSES
04 50 98 84 26 ou 06 87 61 68 23
michelle.muffat@orange.fr
Conférence animée par Ernst Burgbacher.
Habitant Trossingen, Ernst Burgbacher a été député au parlement fédéral allemand (Bundestag) et membre du gouvernement fédéral.
Avec les yeux d’un allemand qui aime la France, il essaiera de répondre à des questions qui se posent souvent :
• Fallait-il élargir autant l’UE ?
• Le marché commun est-il aussi efficace qu’on le croyait ?
• L’UE est-elle vraiment un montre de bureaucratie qui pèse sur nous ?
• L’UE est-elle une vraie démocratie ?
• L’UE rapporte-t-elle plus de bénéfices qu’elle coûte ?
Il parlera également de l’importance des contacts entre citoyens européens et particulièrement dans le cadre des jumelages.
Au programme : Les Amnésiques de Géraldine Schwarz Dans la ville allemande de Mannheim, d’où est originaire son père, Géraldine Schwarz découvre que son grand-père Karl Schwarz a acheté à bas prix en 1938 une entreprise à des juifs, les Löbmann, qui périrent à Auschwitz. Après la guerre, confronté à un héritier qui réclame réparation, Karl Schwarz plonge dans le déni de ses responsabilités de Mitläufer, ceux qui comme la majorité du peuple allemand ont « marché avec le courant ». C’est le point de départ d’une enquête passionnante au fil de trois générations sur les traces du travail de mémoire qui permit aux Allemands de passer d’une dictature à une démocratie. La rencontre de son père avec sa mère, fille d’un gendarme sous Vichy, est l’occasion pour l’auteure d’aborder les failles mémorielles en France dans lesquelles s’est engouffrée l’extrême droite. En élargissant son enquête à d’autres pays, Géraldine Schwarz montre que cette amnésie menace le consensus moral en Europe. |
Atelier mensuel – animé par Louis Caul-Futy – portant sur l’actualité sociale, économique et politique, tant nationale qu’internationale.
Il s’agit d’analyser les évènements du monde et les annonces des médias, de les remettre dans leur contexte afin d’en appréhender le sens, les raisons, les conséquences …
Ce rendez vous est indispensable pour qui veut comprendre le monde dans lequel il vit et en être un acteur ; il est ouvert à toutes et tous sans distinction d’opinions politiques ni de croyances. La parole est donnée à chacun qui veut témoigner, contredire, argumenter, s’indigner.
Conférence animée par Clément Benelbaz
La place du fait religieux au sein des Etats européens est assurément un sujet brûlant, qui l’a toujours été, et l’est toujours. En France, la question ressurgit régulièrement, qu’il s’agisse de la présence des signes religieux à l’école, à l’Université, dans les entreprises, dans la rue, ou encore du financement des différents cultes etc. Pourtant, le phénomène n’est pas strictement limité à la France, et force est de constater que bon nombre d’Etats européens connaissent, peu ou prou, les mêmes difficultés dans leur positionnement à l’égard du fait religieux. Les solutions, quant à elles, sont variées, mais certaines similitudes se retrouvent d’un Etat à l’autre. En effet, s’interroger sur le fait religieux, c’est nécessairement s’interroger sur la laïcité, en tout cas sur sa signification, sa valeur et sa portée.
On peut alors se demander si la laïcité est véritablement une spécificité française, ou si on en trouve des traces dans certains États européens.
Il est nécessaire de comprendre l’histoire de la laïcité pour mieux en cerner les implications et applications actuelles, mais aussi afin de trouver des solutions claires et cohérentes dans le traitement du fait religieux. De plus, ces solutions sont également transposables dans les autres Etats européens. Bien qu’il soit difficile de s’accorder sur sa définition, la laïcité se retrouve, d’une façon ou d’une autre, à des degrés divers : certains Etats connaissent certes une religion officielle ou d’Etat, mais s’impose toujours à eux une certaine forme de neutralité ; d’autres connaissent également plus ou moins de séparation, etc. Aussi, existe-t-il des modèles de laïcité, afin de remédier à des problèmes variés (qu’il s’agisse par exemple des autorisations d’absence, de la manifestation des signes d’appartenance religieuse), mais il est possible d’affirmer qu’il existe tout de même une laïcité européenne. Certains éléments du modèle français sont partagés, parfois exportés, ou isolés.
La question centrale consiste alors à se demander comment traiter et considérer le fait religieux dans un Etat ; en somme, quelle est la place qu’un Etat lui accorde ? Faut-il le reconnaître comme un fait social parmi d’autres, ou lui concéder davantage de considération, voire de privilèges ? Finalement, trois postures sont envisageables pour un Etat : soit la méfiance à l’égard du fait religieux, soit, à l’inverse, une certaine bienveillance ; ces deux attitudes conduisant à une troisième : celle d’un état de conscience du fait religieux.
L’atelier est animé par Françoise Leroulley et Anne-Marie Lorillard.
Au programme :
Danses des Balkans, Grèce, Israël et répertoire folk : scottish, mazurka, polka, valse, danses bretonnes en ligne, en rondes, bourrées d’Auvergne, du Berry, rondeaux du Sud-Ouest …
Renseignements auprès d’Anne-Marie au 06 76 18 92 28
Conférence animée par Gérald Richard
La Haute-Savoie a été, dans la seconde partie du XXe siècle, grâce à son industrie florissante et son tourisme en plein essor, une terre d’accueil pour des milliers de travailleurs venus des quatre coins du monde. Alors comment imaginer que dans la seconde moitié du XIXe siècle, la situation était exactement l’inverse? Dans les villages de Haute-Savoie, on est paysan et on vit comme l’on peut avec les produits de la ferme. Dans les vallées, on s’essaye en même temps à l’horlogerie dans des journées dont on ne compte pas les heures. Dans les villes, où les mendiants sont à tous les coins de rue, on envoie ses enfants à l’usine à peine leur dixième anniversaire passé. Les Savoyards vont donc s’exiler. Ils connaîtront les difficultés de l’acclimatation à de nouveaux pays, la confrontation avec des populations locales, les moments de doute et de désespoir en pensant au pays natal. Parmi tous ces hommes qui, un jour, sont partis vers un ailleurs meilleur, un grand nombre a traversé la Méditerranée pour s’installer en Algérie. Ils vont former des villages en terre algérienne dont le village de Faucigny.
Se retrouver en toute convivialité dans des actions de formation, de conseils et d’aide technique. Échanges sur la pratique du vélo.
Au programme : La Pleurante des rues de Prague de Sylvie Germain
Cette inconnue, qui donc est-elle ?
Une vision, elle-même porteuse, semeuse de visions.
Une vision avare de ses apparitions. Elle ne s’est montrée que peu de fois, et toujours très brièvement. Mais chaque fois sa présence fut extrême.
Une vision liée à un lieu, émanée des pierres d’une ville. Sa ville. – Prague. Jamais elle n’a paru ailleurs, bien que certainement elle en ait le pouvoir.
Cette femme n’a ni nom, ni âge ni visage. Peut-être en a-t-elle, mais elle les tient cachés.
Son corps est majestueux, et inquiétant. Elle est immense, une géante. Et elle boite fortement.
Atelier mensuel – animé par Louis Caul-Futy – portant sur l’actualité sociale, économique et politique, tant nationale qu’internationale.
Il s’agit d’analyser les évènements du monde et les annonces des médias, de les remettre dans leur contexte afin d’en appréhender le sens, les raisons, les conséquences …
Ce rendez vous est indispensable pour qui veut comprendre le monde dans lequel il vit et en être un acteur ; il est ouvert à toutes et tous sans distinction d’opinions politiques ni de croyances. La parole est donnée à chacun qui veut témoigner, contredire, argumenter, s’indigner.
L’atelier est animé par Françoise Leroulley et Anne-Marie Lorillard.
Au programme :
Danses des Balkans, Grèce, Israël et répertoire folk : scottish, mazurka, polka, valse, danses bretonnes en ligne, en rondes, bourrées d’Auvergne, du Berry, rondeaux du Sud-Ouest …
Renseignements auprès d’Anne-Marie au 06 76 18 92 28
Conférence animée par Marc Gindre
AirBnB – Blablacar – Le Bon Coin – Wikipedia… : une nouvelle économie plus humaine, plus « horizontale », moins dépendant du marché est-elle en train de naître ?
Au programme : 1984 de George Orwell
Année 1984 en Océanie. 1984 ? C’est en tout cas ce qu’il semble à Winston, qui ne saurait toutefois en jurer. Le passé a été oblitéré et réinventé, et les événements les plus récents sont susceptibles d’être modifiés. Winston est lui-même chargé de récrire les archives qui contredisent le présent et les promesses de Big Brother. Grâce à une technologie de pointe, ce dernier sait tout, voit tout. Il n’est pas une âme dont il ne puisse connaître les pensées. On ne peut se fier à personne et les enfants sont encore les meilleurs espions qui soient. Liberté est Servitude. Ignorance est Puissance. Telles sont les devises du régime de Big Brother. La plupart des Océaniens n’y voient guère à redire, surtout les plus jeunes qui n’ont pas connu l’époque de leurs grands-parents et le sens initial du mot «libre». Winston refuse cependant de perdre espoir. Il entame une liaison secrète et hautement dangereuse avec l’insoumise Julia et tous deux vont tenter d’intégrer la Fraternité, une organisation ayant pour but de renverser Big Brother. Mais celui-ci veille…