Victor Hugo, génie de la littérature du XIXe siècle, a écrit dix romans qui demeurent comme des phares de la littérature engagée dans la préoccupation sociale.
Le jeune ultraroyaliste qu’il était va progressivement s’affirmer comme une figure du progressisme, malgré le caractère profondément tragique de son œuvre et une vie constituée d’une longue série de malheurs.
Autour de ses romans, placés sous le signe de la culpabilité, de la question de la dette et du don, Jean-Paul Cléret vous propose quelques essais réponses aux contradictions apparentes dans l’œuvre romanesque de ce géant.
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